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présentation


Messages recommandés

Après la très belle DB5 qui a remis Bimota sur
le devant de la scène, le faiseur italien décline cette mécanique en
version
Naked. On retrouve sur ce roadster haut de gamme ce qui fait
l'originalité de la DB5, à savoir une partie cycle alliant treillis
tubulaire et platine en alu, une superbe architecture mise en valeur
par l'absence de carénage et un dessin particulièrement soigné.

DESSIN / CONCEPTION :Sergio Robbiano

PRÉSENTATION:

MOTEUR :Moteur: 4T, 2 cylindres en L, refroidissement par air, desmo 2 soupapes.
Cylindrée (alésage X course) : 992 cc (94 x 71,5 mm)
Puissance : 92 cv / 8.500 tm
Couple : 94 Nm / 4.500 tm
Alimentation : Injection électronique
Transmissions : 6 rapports

CHÂSSIS :Cadre: treillis tubulaire en acier chrome molybdène, avec platines d’aluminium latérales taillées dans la masse.
Suspension av : Fourche inversée Marzocchi tubes 50 mm, entièrement réglable, débattement 120 mm
Suspension ar: monoamortisseur entièrement réglable, débattement 130 mm
Frein av : Double disque pétale 320 mm. Etriers 4 pistons à fixation radiale
Frein ar: Simple disque 220 mm. Etrier double piston
Pneu av : 120/70-17
Pneu ar : 180/55-17

COLORIS :

PERFORMANCE :

PRODUCTION : modèle en cours de production.

CE QU’ILS EN ONT DIT :
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CE QU'ilS EN ONT DIT:

"Délire et savoir-faire

MOTOtest a eu la chance de rencontrer toute l’équipe dirigeante de Bimota Italie et d’essayer, sur route et sur circuit, la sculpturale DB6 Delirio. Nous le devons à l’initiative de l’importateur belge, Mimmo Di Taranto (Scuderia Mimmo, à Malines : 015/43.08.40)

Pour avoir possédé une Bimota SB6R (dont vous pouvez voir l’essai sur le site), votre serviteur sait qu’une machine de cette marque vous fait accéder à une autre dimension : celle d’une exclusivité qui vous fait constamment lire le respect, et parfois l’envie, dans l’œil du public qu’il soit averti ou non. La renaissance de Bimota ne peut que réjouir les amateurs de design, de qualité et de performances. Aujourd’hui, le fabricant veut éviter de réitérer les erreurs du passé (multiplication des modèles, engagement en superbike –avec une victoire à la clé-, développement d’une 500 2-temps) : on concevra moins de modèles, et le motoriste sera uniquement Ducati, de manière à engendrer une marque 100% italienne, synonyme de passion, d’exclusivité et d’émotion. La technologie de l’émotion est d’ailleurs le slogan retenu par Bimota…
Les ventes sont reparties de manière encourageante, et les marchés les plus porteurs pour la petite usine transalpine sont le Japon, les Etats-Unis (deux consommateurs de Bimota traditionnels) et… la Russie, où les nouveaux riches aiment à s’afficher sur des engins d’exception. Et ça redémarre bien aussi sur le marché européen.

L’essentiel

Mais passons à l’essentiel : l’essai d’une Bimota. Et précisément, la DB6 Delirio vous fait revenir à l’essentiel du plaisir motocycliste. Une Bimota, c’est d’abord une émotion esthétique et, à ce point de vue, la Delirio va très loin, plus encore en réalité que sur photos. Plus loin qu’une Ducati, plus loin qu’une MV, plus loin que tout ce que vous connaissez : elle semble tout droit issue de l’imagination torturée mais inspirée d’un auteur de science-fiction. Comme la moto essayée était un des six exemplaires de présérie destinés à la presse internationale, elle présentait quelques lacunes de finition bien compréhensibles et quelques détails modifiés sur la version définitive que vous pouvez voir sur nos photos studio (exemple : l’extrémité des silencieux, corrigée pour répondre aux normes de bruit).
Comme nos vidéos en attestent, les Bimotistes s’étaient déplacés à Croix-en-Ternois avec plusieurs DB5 (la version carénée de la Delirio) de course pour participer aux manches du championnat Supertwin. Résultat ? La victoire en surclassement pour l’un de leurs pilotes. Voilà qui en dit long sur le potentiel des DB5 et DB6 puisqu’elles partagent le même moteur (le Ducati 1000 des Monster et Multistrada) et le même châssis entièrement conçu par Bimota.

En selle

Il y a très peu de place pour pouvoir se déplacer sur le siège de la Delirio. « C’est parce que la position est parfaite pour tout le monde, nous dit en souriant un des Italiens du staff. » Sacré rital, c’est qu’il aurait presque raison ! En effet, sur la route, cette position en appui sur l’avant est pratiquement parfaite pour ressentir pleinement la remontée d’informations de la fourche Marzocchi de 50mm (la même que sur une MV F4 R) et pour profiter à plein des sensations délivrées par le moteur. Comme d’habitude, le moulin Duc’ semble en donner davantage sur la Bimota (aussi en termes de sonorité), alors qu’il n’a pourtant pas été modifié : c’est que le châssis concocté par les gens de Rimini sublime la mécanique bolognaise. La Delirio est ultra vive et réactive mais sans aucun flou ; super agile mais aussi rigide et stable. A tel point qu’au retour de notre essai routier, nous nous disons que nous venons tout simplement d’essayer le meilleur roadster qui existe… Un moteur raisonnablement souple, très coupleux et avec de l’allonge ; un châssis parfait (c’est comme ça, il n’y a rien à dire !) et un freinage ex-tra-or-di-naire. L’ensemble Brembo Oro tout radial sur disque pétale est presque effrayant de puissance en usage routier. Sûr que sur des routes mouillées, il s’agirait d’être prudent avec le levier droit…
Et puis, avec une Bimota, il y a ce « je ne sais quoi » en plus, cette étincelle d’admiration dans le regard des curieux ou ce conducteur de VFR, croisé à un feu rouge, qui oubliait de redémarrer en regardant la Delirio avec un sourire béat sur les lèvres.

En piste

De retour dans le paddock, nous assistons à la victoire de Bimota en Supertwin (et ça fait plaisir quand on pense que la marque a failli disparaître) avant de monter en piste avec les participants d’une session libre.
Evidemment, alors que les 92cv ducatistes sont plus que suffisants sur route, vous imaginez bien qu’ils peinent un peu en ligne droite face à des 1000 japonaises… Mais en ligne droite seulement ! Parce qu’une fois arrivé au freinage, vous faites perdre leur sourire aux pilotes de bolides nippons ; sur un circuit, cet ensemble Brembo est d’autant plus impérial que la Delirio est légère. La Bimota est d’une maniabilité confondante : elle est si agile qu’on peut déhancher au tout dernier moment (le pilote vainqueur de la manche supertwin le faisait d’ailleurs très bien et était nettement plus rapide que ses concurrents en entrée de courbe), c’est elle qui fait le travail de mise sur l’angle. Sur piste comme sur route, stabilité et rigidité sont parfaites (et vous savez comme nous que marier ces deux-là n’est pas toujours facile) ; la suspension arrière (Ohlins) assure motricité et stabilité. Heureusement, car il vous est impossible de vous reculer sur la petite selle pour lester l’arrière à la réaccélération. La fourche quant à elle demande un réglage fin pour être pleinement efficace, sinon elle aura tendance à tressauter sur les parties bosselées.
On pourrait ergoter et dire que pour 20.000 euros (le prix de l’excellence et de l’exclusivité), on aurait pu rêver d’un peu plus de place et de confort ; on aurait pu avoir un tableau de bord plus lisible et doté de poussoirs plus accessibles ; on aurait pu avoir un plus beau té de fourche (une spécialité de la maison) ; etc. Mais en réalité, l’impression qui prévaut au terme de ce double est bien celle d’avoir eu un privilège : piloter une moto qui conjugue presque à la perfection inspiration et efficacité.
RS & AU

Bimota DB6 Delirio - +/- 20.000 euros

Mécanique
Moteur: 4T, 2 cylindres en L, refroidissement par air, desmo 4 soupapes (2 par cylindre, Ndlr).
Cylindrée (alésage X course) : 992 cc (94 x 71,5 mm)
Puissance : 92 cv / 8.500 tm
Couple : 94 Nm / 4.500 tm
Alimentation : Injection électronique
Transmissions : 6 rapports

Châssis
Cadre: treillis tubulaire en acier avec platines d’aluminium latérales
Suspension av : Fourche inversée Marzocchi tubes 50 mm, entièrement réglable, débattement 120 mm
Suspension ar: monoamortisseur entièrement réglable, débattement 130 mm
Frein av : Double disque pétale 320 mm. Etriers 4 pistons à fixation radiale
Frein ar: Simple disque 220 mm. Etrier double piston
Pneu av : 120/70-17
Pneu ar : 180/55-17

Chiffres
Angle de chasse : 24°
Empattement : 1.430 mm
Hauteur sellerie : 830 mm
Poids à sec : 175 kg"

(Scohy R. & Urban A., août 2006, MOTOtest.be
http://www.mototest.be/essais/bimota/2006/Delirio/default.htm)
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Y a un gros couac.

C'est pas un 4 soupapes, mais un 2 soupapes.
C'est 2 soupapes par cylindre. On ne dit pas le total des soupapes du moteur.
C'est comme ça que l'on distingue le desmo due, du desmo quattro. Le 2 ou 4 soupapes.

2 valvole !!! pas 4 valvole Wink
--
De plus tu peux préciser pour le cadre: chrome molybdène, et platines taillées masse.

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